Même adolescente, la philosophe française Simone de Beauvoir s’est rendue compte qu’elle était différente des autres femmes. «Je ne peux pas me débarrasser de cette idée que je suis par elle-même, dans le monde loin de l’autre, en train d’exister avec l’autre comme lors d’un spectacle», a-t-elle publié. Quand elle est allée à l’université pour examiner la vision, son altérité était beaucoup plus prononcée: Beauvoir fumait des cigarettes et buvait comme un homme. Elle attira l’attention d’un autre élève, René Maheu, et écrivit dans leur journal la très bonne chasse et intelligente Maheu était sa «plus grande joie». Maheu l’a surnommée le castor, en français pour «le castor». Il était parfait pour elle à peu près dans tous les sens, à part un particulier: il était coincé. En revanche, elle a analysé pour son examen d’instruction avec l’ami de Maheu Jean-Paul Sartre (page 138). Sartre était un vilain petit canard, mais un merveilleux causeur par rapport à Maheu attrayant mais ennuyeux. Beauvoir et Sartre ont fait des recherches et ont discuté jour et nuit pendant des semaines. Elle a fait dans la prochaine mise sur le test; il a fait la première (même si c’était sa deuxième considération peu de temps après avoir échoué la saison précédente). Plus Beauvoir passait de temps avec Sartre, moins elle pensait à Maheu. À sa grande surprise, elle s’est identifiée obsédée par l’homme à la recherche hilarante. C’était en fait le début de la relation amoureuse non conventionnelle de 50 à 1 ans qui pourrait dominer l’existence de Beau- voir et les dommages pour éclipser son travail. Bien qu’ils se désignent généralement par des mots comme le mari et la moitié, Beauvoir et Sartre n’ont jamais commis – la vie conjugale était une phrase sale sur le Sartre libre de pensée. Beauvoir était d’abord en conflit; elle s’est toujours considérée comme une meilleure moitié et maman. Au contraire, Sartre a suggéré un accord largement ouvert dans lequel leur relation ensemble sera «essentielle» et toutes les autres secondaires. Beauvoir et Sartre ne résidaient collectivement que sporadiquement et vivaient ainsi beaucoup de temps pour des actions extra-scolaires aussi intimes qu’intellectuelles. Dans les années 1950, Beauvoir compose la puissante polémique féministe Another Sex. Elle était une romancière et mémoriste douée, se développant comme une philosophe autosuffisante de Sartre. À sa demande, ils se dévoilèrent leurs relations sexuelles. Deux sélections de personnages, publiées après leurs deux décès, ont révélé leur promiscuité: Beauvoir a raconté ses liaisons de même sexe avec une profondeur alléchante pour Sartre, quand il lui a écrit sur la consommation de la virginité des jeunes filles avec une précision clinique. Parfois, ils poursuivaient exactement les mêmes femmes – régulièrement avec une duplicité bouleversante, comparant les notes alimentant le dos de leurs conquêtes. La relation la plus fervente de Beauvoir n’avait pas été avec Sartre, mais avec l’écrivain citoyen américain Nelson Algren. Ils se sont accomplis pour la première fois en février 1947 alors que Beauvoir parcourait Chicago. Algren lui a présenté un groupe et lui a demandé de manœuvrer aux États-Unis pour s’entendre avec lui. «Je suis prêt à vous épouser en ce moment», dit-il.
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